Si ANELKA lui avait dit : "casses toi, pauvre con"

Publié le par Patrick LEBORGNE

Si ANELKA lui avait dit : "casses toi, pauvre con"

 

 

                        L’exemple vient d’en haut. Quand un Président de la République commet se genre « d’écart », Mme Valérie PECRESSE, Ministre de l’Enseignement supérieur, est particulièrement mal placée  pour affirmer : « comment voulez vous que les jeunes respectent leurs professeurs s’ils voient Anelka insulter l’entraîneur », ou le Président lui-même pour dire que « si les évènements qui ont été rapportés sont exacts, ils sont inacceptables ».

 

                         Pour ma part, je reprendrai à mon compte les propos de notre camarade Jérôme CAHUSAC, qui déclarait sur Radio-J : « Il règne en équipe de France un climat qu’au fond Nicolas SARZOZY a exalté : c’est l’individualisme, l’égoïsme, le chacun pour soi, et la seule échelle de valeur de la réussite humaine c’est le chèque touché en fin de mois ».

 

                         Quel bon condensé de la pensée Sarkozienne en particulier et de la droite en général. On peut s’étonner que les ministres les uns après les autres de ce qui devient à leurs yeux une affaire d’Etat. En tout cas, les « bleus » se font les alliers objectifs (c'est le même Anelka qui a indiqué, d'ailleurs, que jamais il ne rentrerait en France car il ne voulait plus y payer d'impôts) de M. SARKOZY et de son gouvernement : quand on parle de cela, on ne parle pas de choses beaucoup plus importantes, comme le pouvoir d’achat de ceux qui ne sont pas milliardaires, des retraites des plus humbles, de chômeurs et précaires, de ceux à qui l’on donne des jeux, mais plus de pain. Tout fout le camp ….

Par vincentbaudoin.net

Publié dans capagauche35

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